THROES + THE SHINE
A la suite de leur précédent album, Wanga (2016) Throes + The Shine (Igor Domingues, Marco Castro, Mob Dedaldino) ont passé ces trois dernières années de tournées intensives en Europe et en Amérique du Sud. Malgré le chaos relatif engendré par de tels va-et-vient, le groupe porto-angolais n’a cessé de coucher sur bandes de nouvelles idées, amassant plus de quarante démos. Le besoin d’en sélectionner la crème se fit pressant et il décida de s’associer au producteur hollandais Jori Collignon (Skip&Die, Nobody Beats The Drum) pour faire le ménage dans cette jungle de son.
Pendant quatre mois dans un studio du bord de mer, à l’extérieur de Lisbonne, ils donnent libre cours à leurs idées les plus folles qui se cristallisent en dix morceaux, prêts à s’envoler à la conquête du monde.
Du révolutionnaire semba électronique ADN au sauvage kuduro-rave Balança en passant par le rock indé caribéen de Minha Gente. Leur désir de dépasser leurs limites les a poussé à inviter des musiciens qui, comme eux explorent, chacun à leur manière, les nouvelles voies métisses de la lusophonie, un pied en Afrique et l’autre dans le futur. Avec Selma Uamusse, Throes + The Shine a crée le joyeux et organique Keep The Fire Burning qui puise son énergie dans les racines de la Mozambique natale de la chanteuse. Avec le gang capverdien Cachupa Psicadélica, ils se sont interrogés sur la place de l’homme dans l’univers pour Solar, un morceau qui navigue entre Afropop et Space Disco. Le rappeur lisboète Mike El Nite improvise des rimes intenses sur Musseque et son beat en équilibre entre UK Dance et Trap Rap. Le voyage prend une direction encore plus ouverte avec la connexion réussie avec le duo mexicain Sotomayor qui via internet a concocté avec Throes + The Shine une Electro-Cumbia flirtant avec la Salsa, nommée Paraiso. L’ensemble a été baptisé Enza, ce qui en dialecte angolais kimbudu signifie planète et c’est bien d’un nouveau monde dont il s’agit, un espace qui réconcilie le passé et le futur et où le présent peut s’épanouir.
Pendant quatre mois dans un studio du bord de mer, à l’extérieur de Lisbonne, ils donnent libre cours à leurs idées les plus folles qui se cristallisent en dix morceaux, prêts à s’envoler à la conquête du monde.
Du révolutionnaire semba électronique ADN au sauvage kuduro-rave Balança en passant par le rock indé caribéen de Minha Gente. Leur désir de dépasser leurs limites les a poussé à inviter des musiciens qui, comme eux explorent, chacun à leur manière, les nouvelles voies métisses de la lusophonie, un pied en Afrique et l’autre dans le futur. Avec Selma Uamusse, Throes + The Shine a crée le joyeux et organique Keep The Fire Burning qui puise son énergie dans les racines de la Mozambique natale de la chanteuse. Avec le gang capverdien Cachupa Psicadélica, ils se sont interrogés sur la place de l’homme dans l’univers pour Solar, un morceau qui navigue entre Afropop et Space Disco. Le rappeur lisboète Mike El Nite improvise des rimes intenses sur Musseque et son beat en équilibre entre UK Dance et Trap Rap. Le voyage prend une direction encore plus ouverte avec la connexion réussie avec le duo mexicain Sotomayor qui via internet a concocté avec Throes + The Shine une Electro-Cumbia flirtant avec la Salsa, nommée Paraiso. L’ensemble a été baptisé Enza, ce qui en dialecte angolais kimbudu signifie planète et c’est bien d’un nouveau monde dont il s’agit, un espace qui réconcilie le passé et le futur et où le présent peut s’épanouir.
Haute Fréquence
C'est reparti pour une nouvelle édition !
Pour cette nouvelle édition, Dynamo x Le Poche - Ville de Béthune x Médiathèque Elie Wiesel s'associent pour vous proposer 3 évènements : un concert de Throes + The Shine / Ethnophonics au Théâtre de Poche , une conférence sur les influences de l'Afrique sur les ... ×
12 oct. 2019